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Solution 6.1 Le tableau suivant donne les valeurs
demandées :
Solution 6.3
.
Solution 6.4 Le programme suivant en basic réalise
l'opération :
Sur la TI81, le programme s'écrit avec la syntaxe suivante :
|
INPUT Lbl1 : |
|
|
IS Goto 1 :Disp End |
|
Solution 6.5
Solution 6.7
Solution 6.8
Solution 6.9
Solution 6.10
Solution 6.11 a)
c) On trouve que
Solution 6.12 On forme :
Solution 6.13 On montre que pour tout
On en déduit que
puis que
Solution 6.14
Pour le calcul de
on distingue les cas où
est pair ou bien
impair.
Si
est pair, il peut s'écrire
et
Si
est impair, il
peut s'écrire
et
Solution 6.18
Solution 6.20 On obtient les limites suivantes :
On pourra utiliser des factorisations et les résultats sur les croissances
comparées.
Solution 6.19 On obtient les limites suivantes :
Solution 6.21 On a
donc la suite
est croissante. De
même,
=
Enfin,
donc ces suites sont adjacentes.
Solution 6.22
- On obtient :
- Comme le point
est situé sur le cercle de centre
et de
rayon
, on peut dire que
D'après la définition de
, on peut dire que la suite
est une suite arithmétique de raison
. On en déduit que
Pour tout
entier naturel, la forme exponentielle de
est donc
égale à
- a) Remarquons que pour tout entier naturel
:
ce qui prouve que les points
et
sont diamètralement
opposés.
De même :
ce qui prouve que les points
et
sont confondus.
Par
la méthode précédente :
En passant aux modules :
On en déduit alors que
en appliquant la relation précédente à
.
Enfin , remarquons que :
ce qui démontre bien que le triangle
est
équilatéral pour tout entier naturel
.
- Nous sommes dans un cas d'équiprobabilité. Il y a
triangles possibles, car on choisit trois cartons parmi 12. Il n'y a que 4
triangles équilatéraux possibles, donc la probabilité de
l'évènement est égale à :
Solution 6.23 On obtient pour tout
:
Si la suite
est convergente vers
alors on a :
Le système précédent entraîne alors que
est solution de :
Ce système d'équations n'admet pas de solutions, donc l'hypothèse
de départ est fausse, c'est à dire que la suite
est divergente.
Solution 6.25
- 1.
-
d
Posons
et
. On déduit
et
. Les fonctions
et
sont dérivables à dérivées dérivables : l'intégration par parties de
est possible.
d
. Soit
- On a successivement les encadrements :
donc
et puisque la fonction puissance
-ème (
) est croissante sur
,
En multipliant les trois membres par le réel strictement positif
,
.
D'après une propriété de l'intégrale d'une fonction positive sur l'intervalle
,
Soit en multipiant les trois membres par le réel strictement positif
et en reconnaissant
dans le second terme :
d
d
est un réel et la suite de terme général
converge vers 0, donc
-
d
.
Posons
et
. On déduit
et
. Les fonctions
et
sont dérivables à dérivées dérivables : l'intégration par parties de
est possible.
.
Soit après simplification
- 2.
Par hypothèse
.
En appliquant la formule à démontrer pour
on obtient
. Or
(établi en 1.(a)). Donc
.
La formule est donc vraie pour
.
Supposons la formule vraie pour un naturel non nul
c'est à dire
.
Il en résulte que
.
Soit, d'après le résultat établi en 1.(c),
.
La formule, si elle est vraie pour
est vraie pour
.
En conclusion
est vraie pour tous les entiers naturels non nuls.
- On déduit du résultat précédent :
.
Or
(établi en 1.(b)). Donc
. Soit
Solution 6.26
Partie A
- Comme
on a
- Il suffit de développer l'expression fournie. D'après le cours
:
donc
.
est dérivable que
par composition et
différence. On a
Si
alors
et donc
d'après la croissance de la fonction exponentielle.
Cela entraine que
sur
De même,
sur
. On a
- On démontre que la droite
d'équation :
est
asymptote à la courbe
en remarquant que :
Comme
on peut dire que
est située
au-dessous de
.
.
est inclus dans
donc la
fonction
est strictement décroissante sur
De plus, elle est
dérivable et
tandis que
ce qui prouve bien que l'équation :
admet
dans l'intervalle
une unique solution appelée
.
- Par dichotomie, on a
Partie B
-
. On a donc
puisque
-
On a alors :
car la fonction exponentielle est croissante. On en déduit facilement que
ce qui prouve bien que pour tout réel
de l'intervalle
on a :
-
donc
est une fonction strictement
croissante sur
En conséquence, l'image de
par
est
égal à
.
Or
et
donc
est bien inclus dans
est dérivable sur
et pour tout
de
on a
donc pour tout
et
de
on a
Montrons maintenant par récurrence sur
que pour tout
de
appartient à
- Soit
l'hypothèse de récurrence
à l'ordre
:
- On a
donc le théorème des gendarmes prouve que la suite
converge
vers
- L'inégalité
est vérifiée dès
que
On en déduit :
Comme
on peut donc affirmer que l'entier
convient.
- On définit la fonction
puis on calcule
, ce qui donne
On réitère le
procédé en remplaçant
par
et
par
On calcule de cette manière
qui fournit d'après la question
précédente une valeur approchée de
à
près.
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Michel
2002-08-06